jeudi 21 mai 2009

Témoignages

Témoignages




  « Fantastique ! le temps d un dessin et j ai découvert des choses que j ai retrouvé après 3 ans d’analyse.
on découvre les points fragiles mais aussi les points forts de quoi être fière, le savoir ça ma fait du bien. »

Cristina, 43 ans, informaticienne

Témoignage isabelle Van Muylders

Belge, 41 ans, mère de 2 adolescents

"A la reception et apres une lecture approfondie de l'analyse graphologique commandée aupres de Florence Montalescot,ce sont retrouvés en moi deux sentiments.D'abord un trouble partagé par mon entourage proche induit par la véracité des commentaires et ensuite un sentiment de gain de confiance personnelle attribuable á une description fine,exhaustive et serieuse"

« déspuès de la lectura del dibujo de Milagros, mi hija de 5 anos, ahora la comprendo mejor y he creado una mejor relacion con ellà »

Clidé Amarillla , 37 anos

mercredi 13 mai 2009

Le scripteur gaucher.

Pendant longtemps un préjugé défavorable a été attaché à l’usage de la main gauche et la société o longtemps imposé l’usage de la main droite, tant dans le savoir vivre que dans l’apprentissage de l’écriture. Soumis à la contrainte d’une éducation rigide, l’apprentissage de l’écriture a longtemps été obligatoire de la main droite. 
Difficile exercice pour un gaucher…devenu contrarié avec les conséquences qui pouvaient en résulter : dévalorisation de soi, dyslexie, bégaiement…
La gaucherie peut résulter de l’hérédité ou d’un apprentissage naturel, on respecte davantage le choix de la main de l’enfant. Toutefois, l’enfant se trouve confronter a des difficultés d’apprentissage car l’écriture se déroule de gauche à droite. Autrement dit, il tire son crayon au lieu de le pousser, et sa main cache en partie le texte et balaye les mots tracés causant des salissures. Pour les éviter, le gaucher casse son poignet vers le haut ou le bas, entrainant un manque d’aisance. 
Les stylos à encre sont souvent biseautés pour eux dans le mauvais sens, le spirales des cahiers sont gênantes…
Mais une fois l’apprentissage de l’écriture terminée, on remarque peu de différences avec le droitier. 
On remarque plus d’hommes gauchers que de femmes.le pourcentage de gaucher serait de 10 pour 100.
Certains enfants se latéralisent assez tard, et on s’apercoit vers 5-7 ans, qu’ils ont choisi la mauvaise main. Un bilan de latéralité determine la latéralité. 

D’autre part, on observe chez le gaucher une meilleure répartition entre les deux hémisphères, et leur corps calleux est souvent plus important. Ils sont plus capables de fixer leur attention et on les trouve en forte proportion chez les sportifs en particulier dans les sports de défense ou d’opposition (escrime, tennis, ping pong…) l’hémisphére droit traite les données visuo-spatiales et assurent une réponse motrice rapide.
De même, on trouve beaucoup de gaucher chez les artistes.

Concernânt l ‘écriture, il n’existe pas d’écriture type de gaucher, et le graphologue a toujours cet élément avant d’entamer son analyse. Les recettes simplistes comme ne pas tenir compte qu’il s’agit d’un gaucher ou au contraire considérer que le gaucher fonctionne à l’inverse du droitier sont réductrices.
Certains sont totalement inversés, c’est à dire qu’ils sont gauchers de la main, de l’œil, et du pied, d’autres sont gauchers de la main, droitier de l’œil. Or, dans l’acte graphique la main intervient autant que l’œil.
Mais, une mauvaise lateralisation ou une latéralité dysharmonique peut provoquer une sensation de malaise et un sentiment d’échec mettant l’enfant en difficulté, introduisant des désordres dans l’organisation temporo spatiale et peut ralentir le bon déroulement parlé et écrit.
Témoignages




  « Fantastique ! le temps d un dessin et j ai découvert des choses que j ai retrouvé après 3 ans d’analyse.
on découvre les points fragiles mais aussi les points forts de quoi être fière, le savoir ça ma fait du bien. »

Cristina, 43 ans, informaticienne
Les dessins


Le dessin est un acte de création libre et spontané. Il peut raconter une histoire et expliquer ce que la personne ne peut formuler verbalement. L’étude de la symbolique est un extraordinaire moyen de pénétrer l’inconscient. Il faut cependant prendre beaucoup de recul et de précautions sans oublier que rien n’est figé et qu’il ne s’agit que de ressentis au moment de la réalisation du dessin.


Ils permettent une meilleure approche de l’enfant afin d’organiser au mieux le plan de rééducation et d’en optimiser les résultats.